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 Duncan Owen River ♦ Come back to Texas. (Underco)

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Duncan O. River

Duncan O. River


Messages : 1
Date d'inscription : 22/06/2011

Duncan Owen River ♦ Come back to Texas. (Underco) Empty
MessageSujet: Duncan Owen River ♦ Come back to Texas. (Underco)   Duncan Owen River ♦ Come back to Texas. (Underco) Icon_minitime1Mer 22 Juin - 17:21

Duncan Owen River ♦ Come back to Texas. (Underco) 848523Sans_titre_2

» Votre personnage :
(Nom de la célébrité : Alex Pettyfer)
Duncan Owen River ♦ Come back to Texas. (Underco) Sans_titre_16~4 Duncan Owen River ♦ Come back to Texas. (Underco) Alexpetterfer

Déterminé •• Têtu •• Patient •• Agressif.

« L'homme est absurde par ce qu'il cherche, grand par ce qu'il trouve. »
Duncan Owen River ♦ Come back to Texas. (Underco) Avalexpettyferas
    Poste Vacant : Oui ❒ Non X
    Double Compte : Oui ❒ Non X
    (Nom de votre/vos autre(s) compte(s) : )


    Nom(s) : River
    Prénom(s) : Duncan Owen
    Âge : 20 ans
    Date & Lieu de naissance: Le 15 mai 1991 à Jasper, Texas (US)
    Fraternité : Phi Thêta Delta
    Passion(s) : Tout ce qui touche de près ou de loin aux disciplines westerns.
    Classe sociale : Aisée
    Orientation sexuelle : Hétéro
    En couple ❒ Célibataire X


    » Raconte-Nous Une Belle Histoire. :


Chapter one :


Toute l’histoire commença un beau matin de Mai. Il faisait à peine jour à l’extérieur, mais le Ranch familial des River ressemblait à une fourmilière. Deux chevaux attendaient patiemment leurs cavaliers à l’extérieur des écuries. C’était presque l’heure d’aller nourrir les vaches et de vérifier qu’aucune d’entre elles n’avaient été dévorée par des coyotes pendant la nuit. Mais à l’intérieur du Ranch, une joyeuse nouvelle venait d’éclater. En effet, Lyla River venait de mettre au monde ses deux premiers enfants. Elle avait eu la chance d’avoir de faux jumeaux. La nouvelle fut une explosion de joie dans toute la famille. Tous les oncles, les tantes, les cousins et les parents s’empressèrent de prendre la voiture ou l’avion pour voir les deux petits nouveaux. En à peine une heure, la moitié de Jasper fût au courant de la nouvelle. Le téléphone ne cessait de sonner, et ils avaient l’impression que les visites n’arrêteraient jamais. Les gens agissaient comme s’il se passait quelque chose de surnaturel. Même si, après tout, c’était normal. Les River étaient des gens tout à fait honnête. Ils participaient d’ailleurs à tout : rodéos, concours, kermès, fêtes country… Tout. Brett connaissait tout les commerçants et éleveurs des environs. D’ailleurs, il possédait son propre élevage de Quarter Horse et de Texas Longhorn. En gros, la plupart des gens les aimaient. Le peu de gens qui ne les aimaient pas étaient jaloux. Jaloux de la fortune qu’ils possédaient. Jaloux de la qualité des élevages de Brett. Jaloux de leur vie en général. Mais enfin, on dit bien qu’on ne peut pas plaire à tout le monde.

Avec l’avis express de toute la famille, il fût convenu que leurs deux enfants se nommeraient Duncan et Billie. « Celui-là, il fera un bon petit cowboy ! On ira faire du rodéo tous les week-ends » dit Brett, en regardant Duncan dans son berceau. Lyla éclata de rire, un rire franc, un rire qui exprimait le bonheur. « Laisse-lui le temps, il vient de naître » - « Oh, et, ils apprendront à monter tous les deux avant même de savoir marcher ! ». Lyla poussa un soupir. Voir le visage de Brett aussi illuminé la rendait heureuse. Il était tellement heureux d’avoir des enfants. Dès le début de leur relation, il avait exprimé le souhait d’en avoir. Il en voulait beaucoup. Quatre, c’était un minimum pour lui. Mais après, qu’ils en fassent six, huit, ou même douze, ça ne le dérangeait absolument pas. Lyla, elle, pensait que cinq enfants, ce serait déjà pas mal du tout. Qui aurait pu deviner qu’ils en auraient pile cinq ? Personne.

Chapter two :


Comme prévu, Duncan savait monter à cheval avant même de savoir marcher. Son premier mot ne fût d’ailleurs ni maman, ni papa. Non. Lui, il faisait dans l’original. « Dada ! » avait-il dit, alors que son père le tenait dans ses bras. Il avait prononcé ce mot lors d’une compétition très importante à laquelle son oncle Will participait. Son père avait ressentit une fierté immense. « Tu seras un cowboy, un vrai, mon fils ! ». Bien entendu, à cette époque, Duncan ne savait même pas ce que c’était qu’un cowboy. Ce n’est que quelques petites années plus tard qu’il comprit. D’ailleurs, il s’enticha très vite d’une passion pour les rodéos. Duncan adorait les chevaux de son père, sans parler des vaches. Il les trouvait tellement belles, avec leurs cornes pointées bizarrement. Il participa à son premier rassemblement à l’âge de huit ans, sur un vieux quarter horse nommé Morning Glory. C’était un hongre très calme qui allait d’ailleurs partir en retraite après ce dernier rassemblement. Car oui, son père conservait les chevaux jusqu’au bout, dans la mesure du possible. Ils étaient partit trois jours, et avaient dormit à la belle étoile. Ce fût l’un des plus beaux moments de la vie de Duncan. C’est d’ailleurs à partir de cet instant qu’il décida que oui, il voulait faire comme son père plus tard : élever des Quarter et des Longhorn. Il aimait cet univers plus que tout. Il insistait souvent auprès de sa jumelle pour qu’elle accepte de venir voir les vaches avec lui. Duncan tenait énormément à sa famille, et il se réjouissait de voir la plupart de ses oncles le week-end, pendant les compétitions. A treize ans, il commença le barrel racing et le reining en compétition junior, sur son petit quarter horse alezan brûlé de quatre ans nommé Nashville Sunset, qu’il surnommait Nash. Il grimpa d’ailleurs assez vite dans les classements, et arriva très rapidement à un bon niveau, si bien qu’on le prédestinait déjà à être champion. Ou du moins, arriver vers les meilleurs. Mais Duncan ne visait pas la compétition, son seul but était de prendre du plaisir. Il aimait ces grands moments de complicités avec son cheval. Pour rien au monde il n’aurait voulu gâcher ce lien pour de la compétition. Et heureusement, son père l’avait bien comprit. Alors du coup, Duncan participait uniquement quand lui en avait envie, les week-ends.

Plus les années avançaient, plus son père laissait de grosses responsabilités à Duncan. Maintenant qu’il était bien formé, il était temps pour Brett d’apprendre aux trois autres garçons de la famille ce que c’était qu’être un cowboy. Bien que, au vu des capacités, c’était loin d’être gagné pour lui. Duncan se chargeait donc de diriger les troupes pendant que son père faisait autre chose. Il prenait le temps pour sa famille, au moins. De plus, Brett savait pertinemment que son fils aîné adorait faire ce travail là. Et quand, au contraire, son père n’avait pas le temps, Duncan aimait se charger de l’apprentissage de ses trois frères, le tout en compagnie de sa sœur, Billie. A deux, ils faisaient beaucoup plus de choses. Pendant que Duncan apprenait comment manier le lasso à terre et à cheval, Billie, elle, se chargeait de leur apprendre comment ouvrir une barrière sans quitter son cheval, par exemple. Duncan et Billie étaient inséparables. Et, d’ailleurs, l’un n’allait pas sans l’autre. Parfois, Duncan se montrait beaucoup trop protecteur envers les membres de sa famille. Il aurait risqué sa vie s’il le fallait. Même si, pour ça, il n’avait aucun problème. Depuis la naissance, il était un véritable casse-cou. Il n’aurait d’ailleurs pas pu compter les fois où il s’était cassé quelque chose, que ce soit à cause d’une mauvaise chute, d’un rodéo, d’une vache… Mais il s’en fichait royalement. « Temps que je suis en vie, c’est le principal », telle était sa devise. Sa mère s’inquiétait d’ailleurs pas mal pour lui. Ce garçon aimait prendre des risques, risques parfois inutile. Rien que pour ce côté, elle regrettait le fait qu’ils aient un ranch. Toute cette culture impliquait tellement de chose. Mais enfin, elle s’était résolue à ne pas s’en faire. Ou, du moins, essayer.

Chapter three :


Chaque année, lorsque l’été arrivait sur les plaines du Texas, Duncan ressentait une excitation démesurée. Pour lui, l’été était incontestablement la meilleure des quatre saisons. Il y avait certes beaucoup plus de travail au ranch, mais ça, ce n’était qu’un petit détail. L’été était synonyme de beaucoup de choses : les rodéos, les soirées country, le grand rassemblement annuel, les longues ballades à cheval, les grandes vacances, et tout un tas d’autres choses. D’ailleurs, en parlant de vacances d’été, Duncan se réjouissait à chaque fois de pouvoir passer énormément plus de temps au Ranch. Les heures de soleil étaient plus longues, et de ce fait, les journées aussi. L’été, le travail commençait à 5h00 pile, et finissait tard le soir. Mais qu’importe. Tandis qu’il s’occupait des tâches manuelles (comme diriger les hommes, vérifier les quantités de nourritures encore en stock, la santé des animaux, le matériel, l’extérieur du ranch), son père se chargeait de toutes les phases administratives. De plus, chaque année, Brett River achetait de nouvelles vaches et de nouveaux chevaux, et ce pour le plus grand bonheur de Duncan, qui l’obligeait à le prendre avec lui pour l’achat. A chaque fois, il traînait Billie de force avec lui. Il lui arrivait parfois de refuser : c’était loin, c’était chiant… Et puis, elle trouvait que les hommes étaient de véritables brutes envers les animaux. Donc il ne l’a forçait pas, si elle en n’en ressentait pas l’envie. Les week-ends étaient exclusivement réservés aux rodéos. La famille se réunissait presque au grand complet. Et à chaque fin de compétition, ils se retrouvaient autour d’un grand dîner, toujours très convivial. Ils partageaient leurs anecdotes, riaient, s’amusaient tous ensembles… Dans le plus grand des bonheurs. La saison des concours s’annonçait bonne cette année. On arrivait sur la mi-juin, et Duncan attendait avec impatience le moment de partir pour le Colorado, là où se trouvait l’un des élevages que son père avait ciblé cette année. Pour une fois, il était parvenu à convaincre Billie de les suivre, ce qui le rendait encore plus impatient. Deux jours de voyage à travers de somptueux paysages. Et puis, il était surtout content du fait qu’elle puisse donner son avis. Généralement, son père laissait à Duncan le soin d’essayer les chevaux, afin de vérifier s’ils étaient fiables, et qu’ils ne prenaient pas peur à la moindre occasion. Mais cette fois, Billie pourrait le faire avec lui, ce qui serait encore plus génial que d’habitude. Quelqu’un de normal n’aurait pas du tout été excité à l’idée de regarder des vaches, où d’essayer des chevaux. Mais Duncan n’était pas normal. Il était passionné. Il aimait le fait de sentir la poussière lui brûler les yeux, de sentir la force des chevaux une fois installé sur leurs dos, de voir les nouvelles vaches qui bientôt peupleraient les enclos du ranch familial. C’était terriblement excitant. Et puis, c’était vraiment exceptionnel de pouvoir partager cette passion avec la famille.

Le jour du départ tant attendu arriva plus vite que prévu, et ce pour le plus grand bonheur de Brett, Billie et Duncan. L’excitation du jeune homme était visiblement contagieuse. Le trajet se passa dans la joie et la bonne humeur. Lorsque quelques heures plus tard ils arrivèrent à destination, Duncan lâcha un sifflement admiratif. Le ranch était grandiose. Toutes les installations étaient modernes (comme chez eux), mais la maison qui dominait tous les autres bâtiments était carrément plus grande que celle qu’ils possédaient. Même si leur maison était immense, celle-là était juste… Grandiose. Ils furent accueillit directement par le propriétaire et son fils, qui devait avoir le même âge que Billie et lui. Très vite, Duncan remarqua les petits coups d’œil que le fils lançait à l’attention de sa sœur, ce qui ne lui plaisait vraiment pas. Mais bon, il décida de faire comme s’il n’avait rien vu, pour le moment. Le propriétaire – un homme d’une cinquantaine d’années qui ne semblait pas prendre soin de lui et de sa santé – proposa de commencer la visite par les chevaux, ce que son père accepta. L’homme élevait toutes sortes de chevaux. Quarter Horse, Paint Horse, Appaloosa, Morgan et quelques Mustang. Duncan retrouva peu à peu son enthousiasme, surtout lorsqu’on lui proposa d’essayer les chevaux que son père venait de sélectionner. Brett n’avait bien entendu prit que des Quarter Horse, sa race de prédilection. Accompagné de Billie, ils essayèrent les chevaux un par un. Bien entendu, il tenait à se charger des chevaux ayant le sang trop chaud, comme les étalons. Il laissait les hongres à Billie. Ils étaient un tout petit peu plus calmes, mais c’était déjà des risques en moins. Après une heure et demie de monte, ils firent à trois le choix des nouvelles montures. Duncan avait craqué sur trois étalons en particulier. Un de trois ans, pie noir, et un peu chaud (mais il était persuadé qu’une fois canalisé, il serait parfait), un autre d’environ cinq ans, alezan, parfaitement fiable et le dernier, quatre ans, bai cerise, et déjà bien dressé. Quant à Billie, elle avait choisit trois hongres, et une jument.

Une fois le choix des chevaux accomplit, ils se dirigèrent tous les cinq vers l’enclos des Longhorn. Les coups d’œil du fils n’avaient pas cessé, et Duncan se contenait au maximum. Ils s’accoudèrent à la barrière, en face d’un troupeau assez énorme. De loin, Brett sélectionnait les vaches. Duncan ressentait soudain beaucoup d’agacement. Non seulement à cause du fils, qu’il ne sentait pas à des kilomètres, mais aussi à cause du fait que le propriétaire ne proposait même pas de rentrer dans l’enclos. Comment choisir des vaches dans ces conditions ? C’était impossible. Sans demander l’avis de personne, il commença à enjamber la barrière. « Qu’est-ce que tu fais ? » - « Comment est-ce que tu veux acheter des vaches si tu ne peux pas les voir de près ? – « Fiston, c’est trop dangereux de s’aventurer chez des Longhorn sans cheval. » - « Primo, je ne suis pas votre fiston. Deuxio, je fais ce que je veux. ». Duncan sauta de l’autre côté de la barrière, sous le regard ahurit de tous. « Reviens ici Duncan ! Tu sais que c’est trop dangereux. » - « Je m’en contre balance ! ». Sans écouter les remontrances, il s’aventura dans l’enclos. Oh, il savait que c’était plus que dangereux et que n’importe quel cowboy sensé ne l’aurait pas fait. Oui, sauf que là, il était trop sur les nerfs pour écouter quoique ce soit. Il s’approcha des vaches avec beaucoup de prudence. Il vérifia que les vaches soient en bonne santé avant tout. Elles ne semblaient pas avoir de maladies, ni de blessures trop louches, donc tout allait bien. Il fit demi-tour pour rejoindre son père et sa sœur. Il s’attendait forcément aux pires remontrances, mais tant pis. Au moins, son père ne dépenserait pas son argent pour des vaches qui n’étaient pas en bonne santé. Soudain, un bruit attira son attention sur sa gauche, alors qu’il marchait vers la barrière. Lorsqu’il tourna la tête, il vit cette vache qui courrait, ventre à terre, dans sa direction. Il mit quelques secondes avant de réalisé que s’il ne bougeait pas, elle allait l’embrocher sur une de ses cornes. Il se mit à courir en direction de la barrière, le plus vite possible. Malheureusement, elle allait beaucoup trop vite pour lui, et il se retrouva rapidement avec une corne plantée dans le ventre. Il se souvenait avoir senti cette douleur terrible, et de s’être plié en deux… Puis, le trou noir.

Il se réveilla dans un hôpital de Denver quelques heures après.





    » Physique :






    » Caractère :







    » Questionnaire :


"I have a dream" - Quel est le vôtre ? Tenir un jour le ranch familial. Ou être champion de Barrel Race.
La famille, un sujet controversé, on y croit, on n’y croit plus, on n’y a jamais cru ? On y croit.
La religion, vôtre avis ? Êtes-vous religieux ? Boh... Aucun avis en particulier. Je respecte les gens qui sont religieux sans l'être pour autant.
▪ La fin du monde en 2012, réel avenir ou connerie du siècle ? Pure connerie.
▪ Que pensez-vous des homosexuels ? Ça vous rebute, ça vous inspire ? No comment. Ils font ce qu'ils veulent.
▪ Et les polygames (plusieurs compagnons) ? C'est leur choix.
▪ La cigarette, les drogues, l’alcool, c'est dangereux ? Qu'est ce que devrait faire l'État ? L'État ne peut justement rien y faire, donc, bon. Et, je trouve que c'est assez dangereux quand même.
▪ Les transports en commun : Vous les prenez, vous ne savez pas de quoi je parle, vous avez envie de les brûler ? ... J'ai dû les emprunter deux fois dans ma vie, donc je ne sais pas.
▪ Votre insulte préférée ?
▪ Vôtre plus grosse gaffe, c’était quoi ? Hm... Je dirais la fois où j'ai envoyé le plus gros tracteur du ranch dans le fossé.
▪ Si vous pouviez être un animal, vous seriez lequel ? Pourquoi ? Le cheval. Pourquoi ? J'en sais rien.
▪ Quelle est la chanson qui vous met de bonne humeur ? Hey! Porter - Johnny Cash
▪ Où aimeriez-vous aller vivre ? Dans le Ranch familial, au Texas.
▪ Quel personnage de film vous correspond le plus ?
Hm... Je dirais Clint Eastwood dans Le Bon, la Brute et le Truand.






» Me, Myself & I.


Prénom : Je me nomme the cowgirl. Admirez-moi ! *PAAN*
Âge : Je dirais approximativement 299 ans. Mais ça reste à prouver.
Comment êtes-vous atterri ici ? Je sais pas... Ah si ! Par le saint esprit !
Et que pensez-vous de SFA ? Hm... GOOD !
Est-ce votre premier RPG ? On va dire que... Oui.
Si non, veuillez nous donner un exemple de vos RP dans le spoiler ( lien du forum). Pour voir votre niveau.


Spoiler:

Code (à trouver dans le règlement) : OK by Conrad.
Un dernier mot ?
CHARGEEEEEEEEEER !
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